Oui au reporting professionnel :
Récemment, dans un article du Monde*, Monsieur le Gall, soulignait les dérives du reporting : centralisation, contrôle, démotivation, exploitation abusive ou non pertinente…
Article du monde du 2010 05 10 Jean-Marc le Gall *
Tout dépend de l’intention : oui au reporting professionnel, non au reporting personnel
Il existe trois reporting utiles dont le principe n’est pas négociable :
– Rendre des comptes/ to account for : Le reporting utile à l’information sur l’activité : résultats, clients, actions, planning, n’est pas négociable dans son principe.
– Rendre compte/to record : Les reporting nécessaires pour les « fonctions support » qui, par définition, ont besoin d’informations comparables, standardisées, régulières, pour répondre aux obligations légales, règlementaires, fonctionnelles permettant de prendre les décisions pertinentes
– Rapporter/to report, une information sur une situation problème, une réussite, une idée lucrative est indispensable et fait partie du « reporting » : cette forme manque parfois parce qu’elle demande de construire et d’argumenter un « point de vue », de s’engager et proposer une piste d’action concrète, c’est à dire d’être pro-actif.
En revanche, le reporting « personnel » est intrusif, lorsqu’il porte sur le comportement ou pour reprendre l’expression de Monsieur le Gall sur : « les degrés de liberté (savoir faire, gestion du temps… »°