1/ La reconnaissance personnelle
« En effet, les trois modalités de la reconnaissance au travail sont la confiance, le respect et l’estime. »
« Une équipe de travail, ce n’est pas une somme de personnes qui se rassemblent de temps à autre ! »
Voici ce que j’ai lu récemment…sous la plume d’un sociologue du travail…Sait-il comment
fonctionnent les sociétés de service, les plate-formes virtuelles, les cabinets de conseil ? Ils assemblent des compétences qui se branchent instantanément sur une problématique d’un client parfois sans se connaître et sans connaître le client réellement pour les free-lance…
Il existe trois leviers concrets de la reconnaissance au travail. ce billet aborde le premier levier.
1/La reconnaissance personnelle renvoie à la question de « l’identité » au travail : "Remember my name !" La reconnaissance se fonde d’abord sur une « connaissance » de son personnel..
– Etre estimé pour trois apports spécifiques :
– une caractéristique personnelle que l’on désigne habituellement sous le nom de « caractère », « tempérament »
– une caractéristique relationnelle traduisant « l’ouverture » de l’individu aux autres
– une caractéristique sociale : la capacité « d’intégration » dans un groupe
– Etre respecté : Le minimum du respect est simple : dire bonjour à une personne, dire merci et répondre aux attentes, aux demandes, aux questions de ses collaborateurs.
– Etre entendu : Bénéficier d’un retour d’information. Récemment dans une formation, un cadre disait : « La première forme de reconnaissance élémentaire, consiste à répondre clairement à mes mails »
Etre entendu suffit, même si la personne n’est pas « écoutée ».
Les salariés « savent » qu’ils agissent dans un cadre hiérarchique. ce ne sont pas des "enfants"…