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20250612 En quete de sens

PEUT-ON RÉUSSIR SANS SOUFFRIR ?

C’était le thème passionnant de l’émission « En quête de sens » du 12 juin 2025 brillamment animée par Marie Ange de Montesquieu. Une question profonde qui nous invite d’abord à définir ce que signifie souffrir et réussir :
La souffrance peut être physique, mentale ou émotionnelle, tandis que la réussite peut être personnelle, professionnelle ou sociale. Chacun mesure ces concepts à travers le prisme de son parcours, de son éducation et de ses expériences.
Sur Radio Notre Dame 100.7, il m’a semblé utile d’évoqué des textes de la Genèse comme « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front » ou « Tu enfanteras dans la douleur ». Profondément ancrés dans l’éducation judéo-chrétienne, ces textes ont inspiré le dolorisme, une tendance historique dans la religion catholique. Souffrir serait utile ne serait-ce que pour se rapprocher de Dieu.
Comme le rappelait un des invités, le mot « travail » vient de tripalium, un outil de torture.
La Fontaine, dans Le Laboureur et ses enfants, écrivait : « Travaillez, prenez de la peine… Un trésor est caché dedans. » Oui, l’effort est utile pour que la Terre donne du fruit et oui, il y aura des échecs dans chaque parcours comme le rappelait un de mes comparses du jour :
J’ai eu le plaisir d’échanger avec Martine Guillaud et Enock Effah lors de cette émission. Nous aurions pu discuter pendant des heures sur ce sujet, tant les digressions étaient enrichissantes.
En lien avec ce sujet du jour, j’en ai profité pour parler de mon ami Paul FONTAINE, un véritable héros. Pour ses 42 ans, il s’est lancé un défi incroyable : courir 42 marathons en 42 jours, malgré sa mucoviscidose qui limite sa capacité respiratoire à 50%. Il a réussi son pari et partage son expérience avec une belle sagesse : « Malgré les petits bobos, douleurs aux rotules, ampoules et tendinites… à aucun moment je n’ai serré les dents. Je n’étais pas là pour souffrir. Il n’a jamais été question de « never give up » ou de « no pain no gain ». J’ai simplement mis un pied devant l’autre, encore et encore. Ancré dans le présent, un souffle à la fois, un pas à la fois, un jour à la fois. »
Paul a couru 1800 km en 42 jours et il a réussi dans la Joie et non dans la souffrance !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Peut-on vraiment réussir sans souffrir ?

Merci à Marie Ange de Montesquieu pour cette émission qui est à écouter ici en allant sur celle du 12 juin :
https://www.rcf.fr/bien-etre-et-psychologie/en-quete-de-sens

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